Place aux arts de la rue

L’allée Sainte-Lucie sera le théâtre aux mois de mai, juin et juillet de trois performances
d’art de rue immanquables !
L’espace public se magnifie et devient le lieu enchanteur de rencontres fantastiques.
Ces performances sont gratuites et accessibles à tous.

Équivalent quatre pieds

le dimanche 26 mai à 15h et 17h30 , la cocasse compagnie installe son container à l'univers sonore insoupçonné.
Le personnage qui sort du conteneur semble habiter là, il parle l’amharique, sa langue natale. Le second personnage, au départ perçu comme un simple spectateur sorti du public, ne parle pas mais cherche sans cesse de nouvelles surfaces pour exprimer ses envies de percussions, quitte à troubler la tranquillité du premier.
Le public va voir une amitié se créer sous ses yeux. Car les percussions ne sont qu’un prétexte pour pousser l’autre à s’ouvrir et à s’exprimer à son tour. Leur relation va finalement évoluer vers un duo acrobatique et percussif
Tout public

SPECTACLE REPORTÉ - Mentir lo Mínimo

Le spectacle prévu initialement dimanche 30 juin à 18h et 20h30 est reporté à une date ultérieure
la compagnie Alta Gama viendra virevolter vêtu de blanc sur leur vélo blanc pour se mettre à nu et partager leurs émotions bruts avec le public. Un spectacle qui, sous son apparente simplicité, nous rapproche de la complexité de l’acceptation de soi.
Mentir lo Mínimo est un spectacle qui cherche à se débarrasser de tout ce qui n’est pas nécessaire et parle du voyage de ces trois corps sur la scène : la femme, l’homme et le vélo, et comment ils se débarrassent de leurs propres couches pour arriver à l’essentiel, au minimum.
Et quel est le minimum ? Le minimum est le propre corps dans lequel on vit et la relation que chacun entretient avec son corps. Est-ce confortable pour vous ? Le changeriez-vous ?
À partir de 8 ans

L'Armoire Polyphonique

Le jeudi 4 juillet à 17h30 et 19h30, le collectif des aimants Incite les passants à ouvrir l'armoire polyphonique.
L’armoire polyphonique est un impromptu musical itinérant, comme une boîte à musique à taille humaine. De la polyphonie contrapuntique au rap autotuné en passant par la chanson à texte, le Bureau d’Étude de la Chanson, surfe sur les grands thèmes de l’existence, l’Amour, la Haine et la crise immobilière...
Le Bureau d’Etudes de la Chanson est une émanation du collectif ­d’artistes et d’artisan.es Les Aimants, associé au TAG. Le trio vocal voyage à travers les époques et les genres, se donnant pour champ d’études la chanson.
Tout public